Beaucoup de personnes avec un handicap mental travaillent
dans une institution.
Elles travaillent dans un atelier protégé.
Peu de personnes avec un handicap mental travaillent chez un patron privé
ou dans une entreprise.
Travailler comme tout le monde, chez un patron ou dans une entreprise,
on appelle cela : le marché primaire du travail.
Mirco Braschler travaille à 2 endroits :
- dans un garage chez un patron privé
- et dans un atelier protégé d’une institution.
Le travail de Mirco dans un garage
Mirco travaille dans un garage automobile à Lachen (canton de Schwyz).
Mirco se plaît beaucoup dans le garage.
Son visage montre la joie et la fierté de travailler dans le garage.
C’est difficile pour Mirco de parler.
Mais pour l’équipe du garage, ce n’est pas un problème.
Dans son travail, voilà ce que Mirco préfère :
- les gens ;
- les collègues ;
- le chef.
Mirco aime aussi :
- les travaux mécaniques ;
- le contrôle des lampes ;
- les pneus ;
- les tâches du service ;
- la vidange.
Travailler dans un garage comme les autres personnes,
cela lui plaît et lui fait du bien.
Son chef s’appelle Bekim Amidi.
Bekim Amidi est content de Mirco :
« Mirco travaille avec beaucoup de soin. On peut lui faire confiance.
Personne n’a besoin de contrôler ce qu’il fait.
Quand Mirco n’est pas sûr, il demande à quelqu’un.
Ou il demande de regarder avec lui. »
Le travail de Mirco dans une institution
Le 2e travail de Mirco est à la fondation BSZ à Schübelbach,
dans le canton de Schwytz.
C’est une fondation pour personnes en situation de handicap.
Mirco travaille là-bas le mercredi et le jeudi matin avec le concierge.
Mirco répare les lampes et nettoie les fenêtres.
Mirco reçoit de l’argent de la fondation BSZ.
En plus, Mirco reçoit un vrai salaire du garage.
Le garage paie aussi une assurance accident et maladie.
Mirco est fier : il est mieux payé au garage qu’à la fondation BSZ.